Le Costa Rica (hors cas particulier des concessions maritimes) ne fait pas de différences entre l'investissement des étrangers et des résidents. Le droit à la propriété individuelle est inscrit dans la Constitution.
Il existe un cadastre national et des registres qui sont tenus dans les municipalités. Le "Registro Nacional" du Costa Rica est pour partie en libre consultation sur Internet.
Lorsque l'achat d'un bien est réalisé après d'un intermédiaire sérieux qui s'entoure de juristes compétents (avocats et notaires) il n'y a pas de problème.
Hormis certains étrangers résidents qui ont une bonne maîtrise du pays, il est plus que conseillé pour les non-costariciens de passer par un professionnel de l'immobilier pour tout achat immobilier au Costa Rica.
C'est par ailleurs la garantie d'acheter le meilleur bien au meilleur prix.
C'est une question qui s'apprécie au cas par cas. Tout d'abord parce que la situation de chacun est différente et il existe différentes façons d'obtenir la résidence temporaire et ensuite permanente au Costa Rica.
Dans certains cas d'ailleurs, la question de la résidence ne se posera qu'après quelques mois (ou années) de présence dans le pays.
En effet, lors du passage de la frontière, les autorités costariciennes apposent un cachet sur votre passeport. Ce tampon vaut généralement visa pour 90 jours, 3 mois donc.
Attention, si vous déclarez à l'entrée dans le pays que vous venez seulement pour une semaine de vacances, le préposé à l'immigration peut décider de vous accorder un visa pour 10 jours seulement. Idem si vous déclarez un séjour au Costa Rica de quelques semaines, votre visa peut être accordé pour 30 jours seulement.
Si votre intention est de rester dans le pays et si on vous pose la question de la durée du séjour, dites bien que vous envisagez de rester 3 mois. Dans ce cas, il vous sera accordé sans difficulté un visa de 90 jours. Voir exemple ci-contre : le visa d'entrée (E) indique bien une validité (Permanencia) de 90 jours.
Pour renouveler votre visa pour une période de 3 mois supplémentaires, il vous suffira de sortir du pays et d'y entrer à nouveau, mêmes remarques que précédemment.
Même si dans les faits rien n'empêche, au fil des années, de rester en situation régulière de cette manière, il est très conseillé à ceux qui veulent s'installer et vivre durablement au Costa Rica de solliciter la résidence. C'est un confort qu'on apprécie grandement lorsqu'on l'obtient.
Nos clients qui le souhaitent bénéficieront de l'assistance d'un avocat francophone spécialiste de la question. Il saura conseiller chacun au mieux de sa situation et des ses intérêts.
Important : il existe des "intermédiaires" qui proposent, moyennant finances, d'effectuer à votre place les formalités d'entrée / sortie dans le pays. Ceci afin de vous éviter d'avoir à sortir du Costa Rica à l'issue des 3 mois. N'ayez JAMAIS recours à ce moyen illégal, vous risquez de le regrettez amèrement par la suite. Quand par exemple viendra le temps de solliciter la résidence au Costa Rica.
Le pays, considéré comme la "Suisse de l'Amérique Latine" n'est pas le moins cher de la zone. Dans les endroits touristiques par exemple (Tamarindo, Jacó) les prix relevés dans les supermarchés qui proposent de la nourriture occidentale seront légèrement inférieurs à ceux pratiqués en en Europe, 10 à 30 %. Et donc égaux ou parfois même supérieurs à ceux pratiqués aux USA. Certains produits spécifiques importés seront même plus chers.
Néanmoins en consommant local, en plus de l'impact écologique, vous ferez grandement descendre le coût du caddie. Les fruits et les légumes locaux par exemple sont très peu chers et excellents.
Vous économiserez beaucoup sur le carburant, jusqu'à 2 fois moins cher qu'en Europe selon le taux de change.
Et aussi sur le coût du travail, que ce soit pour développer votre entreprise ou bien pour votre habitation. Un employé dûment déclaré, toutes charges comprises, vous reviendra 3 à 4 fois moins cher que dans votre pays d'origine.
Vous économiserez également beaucoup sur l'habillement et le chauffage, inexistant au Costa Rica.
D'une manière générale, on peut considérer que chaque budget ici au Costa Rica pourra s'adapter et vivre selon ses moyens. Hors loyer, une famille de 4 personnes peut vivre à partir de 1.000 $ par mois. Il s'agit d'un mimimum.
Il est toutefois conseillé d'acquérir sa résidence pour ne pas avoir à subir les effets des hausses de loyer toujours possibles en fonction de la situation économique mondiale. Le coût de la construction (matériel et surtout main-d’œuvre et taxes) étant bien moindre qu’en Europe / Amérique du Nord, vous pouvez acquérir ici de 50 % à 100 % de m² en plus pour le même prix. Sans compter le bonus quand le taux de change est favorable.
Tout dépend sous quelle forme est originellement détenu le bien immobilier à acheter et sous quelle forme l'acheteur souhaite le détenir. Également des conditions d’achat, comptant, crédit-vendeur, …
En résumé, on achète au Costa Rica en nom personnel ou bien en société. On ne peut pas généraliser et privilégier à priori telle ou telle forme de détention. Nos avocats et notaires vous conseilleront selon votre cas, votre patrimoine, votre situation de famille, votre lieu de résidence fiscale, etc.
Considérez néanmoins que les frais d'achat se situeront dans une fourchette de 1.5 à 4.5 %. La moyenne tourne autour de 2 - 2.5 %. C’est le cas par exemple pour une maison détenue dans le cadre d’une société et rachetée 300.000 $ comptant dans le cadre de la même société. Cela comprend les honoraires des avocats et notaires, les impôts de mutation et autres droits de timbres légaux.
- L'acquisition d'un bien d'une valeur inférieure à 100.000 $ génère des frais de l'ordre de 4 % du fait de frais incompressibles quelle que soit la valeur d'achat.
- L'acquisition d'un bien d'une valeur inférieure à 50.000 $ génère des frais de l'ordre de 4.5 % du fait de frais incompressibles quelle que soit la valeur d'achat.
Sauf cas spécifique et précisé dans le contrat d'agence, les frais d'agence sont intégralement à charges des vendeurs.
Passer par votre agence immobilière francophone pour investir au Costa Rica ne vous coûte donc strictement rien. Vous auriez tort de vous en priver !
Le montant des impôts fonciers à acquitter directement auprès des municipalités s'élève à 0.25 % de la valeur fiscale du bien.
Je tiens à préciser la notion de valeur "fiscale". En effet, la valeur fiscale n'est absolument pas représentative de la valeur commerciale. Elle est généralement en dessous, voire très en dessous. Non pas obligatoirement pour des raisons de tricheries ou autre. Les grands terrains agricoles par exemple auront une valeur fiscale très très faible, de l'ordre de quelques centaines de $ à l'hectare, parfois même moins. L'impôt foncier résultant sera donc extrêmement faible et cela s'explique aisément. Un hectare de prairie par exemple, qui a vocation à être exploité ou loué pour y mettre des vaches ou autres sympathiques ruminants ne rapportera à l'année qu'un faible revenu. L'impôt sera donc à l'avenant. Le même hectare agrémenté d'une maison de 400 m² avec piscine et dépendances verra sa valeur fiscale considérablement augmenter. Mais l'estimation faite par les techniciens des municipalités et ayant valeur légale pour 5 ans sera généralement 2 à 3 fois inférieure à la valeur commerciale. Non pas parce que cela vaut moins mais parce que les barèmes de calculs sont ainsi faits.
En résumé, l'impôt foncier au Costa Rica est faible et son mode de calcul favorable.
Par ailleurs il n'y a pas au Costa Rica d'impôts de type "taxe d'habitation". Hors cas spécifique, les concessions maritimes par exemple, vous ne paierez donc qu'un seul impôt annuel sur la propriété. Impôt payable d'avance pour l'année entière à partir du 1er janvier de chaque année ou bien tous les 3 mois.
La terre en tant que produit de conservation et de valorisation de patrimoine est donc un excellent placement puisque très peu d'impôts grèvent votre bien. La situation ne devrait pas changer de sitôt car le Costa Rica est un pays de propriétaires. La majeure partie des terres du pays sont détenues par les Ticos et ils verraient d'un très mauvais œil toute augmentation en la matière.
Par ailleurs, il n’y a pas de droits de succession ni d’impôts, hors bien sûr opérations de promotion immobilière, sur les plus-values immobilières.
D’une manière générale, au Costa Rica c’est le vendeur du bien immobilier qui paie la commission d’agence.
Dans certains cas, il peut en être autrement. Par exemple lorsque nous négocions pour un client acheteur un prix très en dessous du marché. Dans ce cas de figure, on ne peut raisonnablement pas demander au vendeur de payer la commission d’agence.
Idem pour une vente avant saisie et procédure contentieuse ou judiciaire.
Dans le cadre d'un mandat de recherche (demande particulière) des frais seront demandés.
Vaste question dont la réponse dépend avant tout de votre situation personnelle : votre âge, la composition de la famille, le cas échéant présence au foyer d'enfants d’âge scolaire ou non, votre état de santé, vos habitudes de vie antérieures, vos espérances … sont des facteurs à prendre impérativement en compte.
En résumé on distinguera 4 zones possibles d’expatriation :
- La vallée centrale, San José et ses environs.
- Le Pacifique Nord, la Péninsule de Nicoya et Tamarindo.
- La zone Pacifique plus au sud, Ojochal notamment.
- Et pour les plus téméraires, la Côte Caraïbe du Costa Rica, Limón, Puerto Viejo.
Il est expressément recommandé de se renseigner sur les implications pratiques de votre implantation. Il est capital pour réussir son expatriation temporaire ou définitive de ne pas de tromper d’endroit. Car c’est l’un des facteurs principaux d’échec.
Le coup de foudre c’est toujours très excitant mais toujours à confirmer avant de prendre une décision. Comme dans le mariage en fait, en immobilier méfiez-vous des coups de foudre . Heureusement ma femme ne lit pas tout ce que j'écris .
Dans tous les cas, nous sommes là pour vous conseiller au mieux en fonction de votre situation personnelle. Nos expériences personnelles et professionnelles réunies nous permettent de vous éviter bien des écueils.
En toute honnêteté, si vous ne présentez pas déjà des garanties solides dans le pays, cela sera difficile. N'y comptez absolument pas pour des biens à caractère commercial, hors murs commerciaux, reprise de bail par exemple. Et d'une manière générale, pour emprunter auprès des banques au Costa Rica, il convient préalablement d'être résident.
Il est par conséquent indispensable de disposer dès le début de sa recherche de bien à acheter au Costa Rica des fonds nécessaires. D'autant plus que le plus souvent les bonnes affaires se font vite et cash.
Ou bien, pour le moins, être en phase de compromis chez le notaire de votre pays si vous financez votre acquisition ici par la vente d'un bien hors Costa Rica.
Certains de nos clients à qui il manque une partie du financement obtiennent néanmoins auprès de leur banque en Europe ou ailleurs des prêts de type "prêt personnel". Inutile de demander à votre banque d'origine un "prêt immobilier pour acheter une maison au Costa Rica". Votre banquier ne va pas apprécier. Les banquiers ont rarement le sens de l'humour et ce qui les intéresse avant tout est de garder votre argent chez eux. Votre argent nous intéresse.
Par contre, parfois, moyennant garanties (hypothèque généralement), certains vendeurs ici au Costa Rica financeront tout ou partie du bien à la vente. Personnellement je trouve ce système, de particulier à particulier, bien plus efficace, moins cher et plus rapide qu’un prêt bancaire qui nécessite bien des démarches et des « papiers ». Sans pour autant garantie de bonne fin.
Ce serait bien qu'on commence à apprendre à se passer des banques, non ? Je me souviens, lorsque j'ai commencé à travailler dans les années 80 et qu'il a bien fallu déposer mon 1er salaire quelque part, j'ai alors demandé à mes parents :
- A quoi sert une banque ?
Et ils m'ont répondu :
- Tu leur confies ton argent et en retour ils t'offrent des services. Chéquier, carte bancaire ...
Récemment, quand mon fils m'a demandé - A quoi sert une banque ? je lui ai répondu :
- Tu leur confies ton argent et chaque mois, surtout, tu regardes bien si le banquier n'a rien pris sur ton compte !
Les temps changent ... nous pas trop.
PS : mention très bien cependant à certaines banques du Costa Rica qui prennent très peu ou même pas du tout de frais bancaires. Incroyable non ? Et qui offrent une exposition immensément moins risquée à la crise financière qui nous guette tous. Plus exactement à la crise monétaire à venir qui va littéralement pulvériser, vaporiser la valeur de certaines grandes monnaies internationales. Dont l'euro et l'US dollar, dettes massives obligent. D'ailleurs, le CRC, Colon du Costa Rica, s'apprécie nettement face à l'USD depuis plusieurs années, voir graphique ci-contre. Pire, l'USD est artificiellement maintenu à 1 USD pour +/- 500 CRC. Mais pour combien de temps encore ?
Les gens me demandent souvent quelles sont les « assurances » au Costa Rica. J’ai souvent coutume de répondre que chercher systématiquement à s’assurer (contre tout et n’importe quoi) c’est s’assurer d’endurer un jour la double peine.
Je m’explique : la 1ère peine ce sont les cotisations que vous acquittez et qui représentent, sur une vie entière, un budget conséquent, énorme même. Lorsqu’un sinistre survient, c’est une perte, plus ou moins importante, soit, tout le monde a connu cela. Et plus vite on « prend sa perte » plus on peut agir en conséquence pour que cela ne se reproduise plus ou du moins limiter les risques. C'est d'ailleurs ce qu'on appelle l'apprentissage, composante de l'intelligence. La prophylaxie, c'est encore la meilleure assurance. Pour le reste remettez-vous en à votre DIEU personnel. Si Dios quiere comme on dit ici.
C’est lorsqu’on est « assuré » contre la dite perte que cela se complique. En effet, en plus de subir la perte ce qui est déjà souvent pénible, il faudra en plus, seconde peine, « faire marcher l’assurance ». Qui parmi vous n'a jamais tenté de « faire marcher l’assurance » ? Parce que les assurances ne marchent pas toutes seules, il faudra consacrer beaucoup de temps et d’énergie pour espérer bénéficier, un jour peut-être de tout (rarement) ou partie (souvent) du remboursement de la chose assuré. Ce qui entraînera à coup sûr de la fatigue, de l’exaspération, de la frustration … bref, double peine !
Personnellement je considère que dans la plupart des cas cela n’en vaut pas la peine. Cette opinion n'engage que moi et je ne cherche à convaincre personne.
Au Costa Rica vous pourrez bien sûr assurer votre habitation, votre voiture, votre santé, votre chien et ses puces même si vous le souhaitez. Mais d’une manière générale je conseille à ceux qui ne peuvent pas vivre sans un minimum de prise de risque de ne pas tenter l’aventure de l’expatriation. Mieux vaut dans ce cas rester sous l’aile protectrice de « l’état providence » qui s’occupe de façon obligatoire de votre santé, de votre retraite, de l’éducation de vos enfants, de ce que vous devez faire de votre argent, de ce qui est bien ou pas bien, de ce que vous pouvez dire ou ne pas dire et bientôt de ce que vous pouvez penser ou ne pas penser.
Depuis peu, en parcourant sur Internet depuis le fin fond du Costa Rica les nouvelles d'Europe, je me demande même si en cas de rêves dans lesquels on dit des choses qu’on ne devrait pas dire car punies par la loi, on n'est pas obligé d’aller se dénoncer à la police de la pensée ou à la bien-pensance appointée par l’état. Je me demande …
En quittant certains pays pour d’autres on réapprend à être plus libre. Je conçois que cela soit angoissant pour certains car plus de liberté signifie obligatoirement moins de sécurité. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le philosophe. Pas moyen d’y échapper, c’est un choix de vie, alors autant qu'il se fasse en toute conscience.
Même chose au sujet des « garanties », un mot que j’entends souvent. Si vous souhaitez acheter des garanties, c’est votre droit, direction les assurances ou les marchands de certitudes qui tous seront ravis de prendre illico votre argent. Et beaucoup moins de vous le rendre au moment où vous en aurez vraiment besoin.
Si vous préférez vivre sans béquilles (ce qui permet en outre de courir au lieu de sautiller), alors bienvenue au Costa Rica !
PS : à l'insu de mon plein gré, j’ai quelques assureurs dans ma clientèle. Ne riez pas car ce sont vos cotisations qu’ils investissent au Costa Rica
Si vous avez déjà lu quelques pages du site de notre Agence, vous avez compris que nous donnons la priorité absolue aux clients qui nous accordent leur confiance. Ceux notamment qui nous donnent l’exclusivité pour la vente ou la recherche de leur maison ou autres biens immobiliers au Costa Rica.
Ainsi nous prenons l’engagement auprès des vendeurs de diffuser l’annonce de leur bien à vendre auprès des agences que nous savons capables de vendre à brève échéance. Connaissant bien le marché local et ses différents acteurs, cela nous est facile.
Les vendeurs ont ainsi l’assurance que leurs biens seront correctement mis en valeur sur les différents marchés, francophones, anglophones, hispanophones et même russophones.
Sans pour autant être en « sur diffusion », facteur évident de dévalorisation fatale d’un bien immobilier. Une diffusion excessive (et donc obligatoirement mal ciblée) et de nombreux changements de prix - à la hausse comme à la baisse - constituent la meilleure manière de tuer un bien immobilier.
Par conséquent, notre agence ne gardera pas votre bien immobilier sous le coude et au contraire dosera au mieux sa diffusion de façon à le vendre au plus vite.
J’ai coutume de dire qu’au Costa Rica le travail d’une agence immobilière est triple car il faut d’abord vendre le pays, ensuite vendre telle région (expliquer pourquoi celle-là vous conviendra mieux plutôt qu’une autre) et ensuite seulement (enfin !) faire son travail d’agent immobilier et vendre une maison, un terrain, un appartement …
A contrario, un acheteur qui pousse la porte d’une agence immobilière classique dans son propre pays sait d’avance où il va acheter (tel ou tel quartier), pourquoi il va acheter (mutation, investissement locatif …), le type de bien qu’il va acheter …
Le travail à l’étranger est par conséquent très différent et bien plus gourmand en temps et en énergie.
Costa Rica Immobilier assume cela avec un grand plaisir mais nous vous demandons de nous solliciter pour des visites sur le terrain uniquement si :
Le rôle d’un agent immobilier au Costa Rica par conséquent est de vous accompagner autant que nécessaire sur le terrain pour l’acquisition de votre bien, à condition toutefois que vous soyez réellement déterminés et parés à acheter un appartement, une maison, un terrain … au Costa Rica.
Dans l'attente que les 3 conditions précédentes soient réunies, c'est avec un grand plaisir que nous répondrons à toutes vos questions. Revenez souvent sur Costa Rica Immobilier, vous aurez accès à beaucoup d'informations et vos questions trouveront leurs réponses.
Cette question devrait plutôt s’intituler : pourquoi n’avez-vous pas de bureaux, d’agences immobilières classiques, ici ou là ? Pour plusieurs raisons que voici :
Vous l’avez compris, nous vivons notre passion de l’immobilier sur le terrain, à pied, à moto ou même parfois à cheval dans les fincas. Le paradis ça se mérite !
Même chose pour le téléphone, à part les « urgences » (très rares dans le métier d’agent immobilier !) nous ne travaillons plus par téléphone. En effet, à 99 % le téléphone est une perte de temps car par téléphone on ne peut pas échanger d’informations importantes comme des fichiers, des photos ... et les paroles, c’est bien connu, s’envolent. Les écrits eux, restent et c’est bien mieux pour travailler efficacement. L’écrit est toujours bien plus efficient et surtout moins intrusif. Un mèl ne dérange jamais, un appel téléphonique presque toujours. De plus, hors périodes de vacances, nous répondons à plus de 95 % des courriels sous 48 heures.
Préférant faire vivre le site, augmenter d'année en année son audience et le nombre de nouveaux visiteurs, nous avons donc fait le choix heureux de ne plus avoir de téléphone professionnel.
Par ailleurs beaucoup (vraiment beaucoup !) d’éléments importants sont mis à disposition de nos visiteurs notamment dans :
- La Foire aux Questions : FAQ
- Le blog personnel Costa Rica : Blog 1
- Le bloc économique, d'actualités : Blog 2
Malgré notre bonne volonté, il ne nous est donc absolument pas possible de tenir en plus de cela une permanence téléphonique car beaucoup d’éléments importants sont déjà gracieusement offerts à la connaissance des lecteurs et acheteurs/vendeurs potentiels. Et pour les questions individuelles sur mesure, depuis juillet 2015 vous disposez d'un nouveau service exclusif, CLIQUEZ !).
Vaste question … parce qu’il faut bien, à un moment donné, faire un choix.
Et comme vous tous, nous nous sommes posé la question de savoir, lorsque la décision de quitter la France a été prise, de savoir OÙ aller ?
Plusieurs destinations ont retenu notre attention et il a fallu procéder par élimination.
Cette énumération ne prétend pas être le reflet d’une quelconque vérité intemporelle. C’est seulement un ressenti personnel à la suite d’expériences préalables, de visites sur place et de recherches sur Internet.
Finalement, à postériori, le Costa Rica fut le bon choix. Nous ne prétendons pour autant que le Costa Rica est un véritable paradis, un jardin d'Éden terrestre. C’est plutôt un bon compromis qui allie stabilité, bon accueil des habitants, bonne sécurité, monnaie stable (en progression même parfois face au dollar et à l’euro), droits garantis, climat varié et agréable, coût de la vie abordable, fiscalité douce, possibilité de prospérer en travaillant, liberté retrouvée … toutes conditions qui font que la vie, globalement, devient moins stressante, plus agréable.
CLIQUEZ et patientez quelques secondes pour visualiser la carte en GRAND FORMAT
Il y a quelques années, avant même de débarquer avec armes et bagages au Costa Rica, en faisant des recherches sur les possibles « pays d’accueil », j’étais alors tombé sur le texte suivant. Je le reproduis ici ces conseils dont j’ignore l’auteur. Avec quelques commentaires personnels adaptés à la réalité locale du Costa Rica.
- 1 - Quels que soient vos problèmes avant le départ, vous les emmènerez dans votre valise et ils prendront rapidement plus d’espace que vous ne l’imaginez : très vrai ! L’euphorie des premiers mois de découverte de votre nouvel environnement terminée, invariablement les « soucis d’avant » réapparaissent. Mieux vaut les régler avant de partir ou bien apprendre à vivre avec. Si écrasé par les ennuis, vous pensez qu’ils se résorberont d’eux-mêmes à peine posé le pied sur le sol du Costa Rica, c’est mieux de ne pas quitter votre Home Sweet Home.
- 2 - Personne ne vous attend sur place, vous n’allez sauver personne et vos idées ne sont pas originales : c’est un peu le problème du français et consorts. Depuis des dizaines d’années on lui tant a seriné la grandeur de la France qu’il se croit exceptionnel et au dessus de tout. Rien ne vaut l’expérience à l’étranger pour un retour, parfois brutal, à la réalité. Brutal mais salutaire.
- 3 - Personne ne vous tendra la main sauf peut-être pour y prendre le peu d’argent qui vous restera et vous n’aurez droit à rien, ni indemnités, ni aide ni sécurité sociale : oui par pitié, si vous vous sentez pousser des ailes d’expatrié, à moins d’être pris en charge par une grande entreprise, oubliez le « modèle social français ». Tellement modèle d’ailleurs que personne ne s’en inspire … bizarre ! D’un autre côté, même si à l’étranger on fait parfois de mauvaises rencontres (surtout si on donne sa confiance à n’importe qui) la solidarité entre français existe bel et bien. J’en ai de multiples exemples autour de moi.
- 4 - Il vous faudra donc être meilleur et plus fort que les autres, dans votre spécialité, si vous en avez une, ou dans ce que vous voulez entreprendre et malgré vos dysfonctionnements, si c’est le cas, et c’est généralement le cas : vrai aussi, nous sommes tous dysfonctionnels, la plupart des gens que je côtoie dans mon travail le sont. Moi aussi sans doute. Néanmoins, nous les français, belges, suisses … avons des qualités que probablement beaucoup de latinos n’ont pas : notamment le sens du travail bien fait, la rigueur, l’organisation … C’est une vraie chance qui permet à ceux qui veulent travailler, monter des entreprises ... de le faire et finalement de réussir bien plus aisément qu’en Europe. Les latinos ont d’autres qualités que vous découvrirez sur place.
- 5 - Si vous avez de la chance et surtout si vous travaillez beaucoup pour la mettre de votre côté, dans 5 ou 10 ans vous arriverez à émerger d’un cauchemar dont il faudra que vous vous souveniez, car tous les jours qui suivront devront être consacrés à ne pas y retomber : cette phase sent le vécu ! La galère pourtant n’est pas systématique. En ayant les bons conseils dès le départ, vous l’éviterez le plus souvent. Mais au Costa Rica vous n’êtes pas, du moins au début, dans votre environnement habituel. Les règles ne sont pas les mêmes, les repères n’existent pas encore. Pour éviter le « cauchemar », faites-vous aider !
- 6 - Vous ne vous ferez pas plus d’amis à l’étranger que vous n’avez réussi à vous en faire dans votre pays … au contraire … : les amis à vie se font souvent à la période de l’enfance, à l’adolescence, à l’université ou bien dans les endroits à fort esprit d’appartenance (armée, certaines entreprises, expériences fortes vécues ensemble …). Il est donc autant difficile dans son propre pays qu’à l’étranger, une fois parvenu à l’âge adulte, de se faire de vrais amis pour la vie. Par contre au Costa Rica l’usage du français est un vrai sésame. Dans ce pays, les gens qui parlent français s’abordent sans crainte, sans façons. Au supermarché, dans la rue, à la plage … en entendant son voisin parler français, le contact se noue naturellement. Si l’on sort un peu de chez soi, très vite on se fait énormément de relations, à défaut d’amis. Ensuite le temps fait son œuvre et parfois l’amitié naît. Surtout dans la région de Tamarindo où je vis car on y trouve de plus en plus de français.
- 7 - La solidarité n’existe pas, sauf peut-être, avec de la chance, pour vous rapatrier : non même pas. Le consul de France au Costa Rica me disait récemment qu’il était de plus en plus sollicité pour des demandes de rapatriation. 2 cas principaux :
Le consulat de France au Costa Rica est chargé de nombreuses missions certes mais pas de payer des billets retour d’avion France => Costa Rica à ceux qui ont échoués ici.
- 8 - Vous aurez du mal à montrer vos qualités, mais vos défauts apparaîtront toujours : souvent il faudra faire face à tout, seul, du moins au début. Car la vie est rarement un long fleuve tranquille et au Costa Rica comme ailleurs il vous arrivera des « trucs » qu’il faudra apprendre à gérer. Dans ce cas les manques encore non révélés apparaissent et c’est justement l’occasion d’apprendre et de progresser. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, n’est-ce pas ?
- 9 -Vous n’aurez rien à enseigner à personne mais vous aurez plutôt tout à apprendre des habitants du pays que vous avez choisi : oui, il faut savoir écouter et observer pour bien s’adapter à un pays nouveau. Rien de plus déplaisant que ceux qui ont la science infuse. Mais ordinairement la vie se charge de corriger les excès. Et ce sont souvent les omniscients qui repartent les premiers en sens inverse.
- 10 - Si les éléments ci-dessus ne vous font pas peur, alors vous aurez la plus belle vie qu’il soit donné à une personne d’expérimenter … si vous savez vous relever à chaque chute : j’approuve au-delà de tout, 30 années d’expérience à l’étranger me l’ont prouvé maintes et maintes fois. En cas de besoin, pour vous aider à vous relever, lisez Rudyard Kipling.
En conclusion, je dirais qu’une tranche de vie à l’étranger accélère forcément la compréhension de soi-même, des autres et de la vie en général. Saint Augustin disait : Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n’en lisent qu’une page.
Les livres en français : plusieurs solutions cependant, le colis postal en provenance de la famille où d’amis restés au pays. Ou bien commande sur Internet chez certains éditeurs ou marchands. Aucun problème de livraison, il faut juste patienter un peu, 3 semaines en général. Également la Librairie Française à San José, capitale du Costa Rica.
La « Culture » : pour certains je veux bien croire mais personnellement j’ai tendance à m’endormir au théâtre (si les acteurs ne crient pas trop fort) et surtout au ballet. Le reste je le trouve sur Internet, films, documentaires, journaux, magazines, livres numériques (les « zebooks » en anglais).
La télévision : un an auparavant nous l’avons carrément supprimée. Aucun regret finalement après cette année 2012 et toutes les suivantes sans télévision. Bien au contraire, on s'aperçoit que sans télévision on fait bien plus de choses en une journée. Étonnamment, certains neurones qu'on croyait irrémédiablement perdus, ressuscitent. Le Tour de France, quand même, un peu dur de s'en passer (note de juillet 2015).
Ceux qui ne peuvent se passer de télévision pourront toujours se scotcher devant TV5Monde, la télévision des francophones à travers le monde. Émissions françaises, belges, suisses, québécoises, africaines … toute la francophonie. Bon canal généraliste au demeurant, sans publicité.
La nourriture bien de chez nous : dans la capitale ou bien les grands centres touristiques du Costa Rica, on trouve à peu près de tout. Ailleurs cela se complique un peu mais on n’en meurt pas. Quand un visiteur ou un client (si si !) m’apporte un bon pâté ou un excellent Bordeaux, c’est Noël !
Les impôts, les taxes, les mauvaises nouvelles du journal de 20 heures, François Hollande et tous nos "hommes & femmes politiques" : euh non, je plaisante, surtout gardez tout cela pour vous !
Pas de manques particuliers par conséquent après quelques années de vie au Costa Rica. Surtout grâce à la communication par Internet qui permet d’être relié, son & image, en permanence au monde entier, du moins si on le souhaite.
Et si vraiment, cas rarissime, on s'ennuie, on peut toujours aller sur la plage à Tamarindo, spectacle assuré, 365/365 ! On trouve aussi de beaux spécimens de surfeurs mais honnêtement, je l'avoue, je suis moins fan. Car je prèfère (de loin) la surfeuse !
Considérations à propos du chiffre d’affaire (CA) d’une affaire commerciale, d’un restaurant, d’un bar, d’un magasin, d’un hôtel, d'un lodge, d'un B&B, de chambres d'hôtes, de cabinas, de bungalows … au Costa Rica.
Autant en France et autres pays très comptablement encadrés il est aisé, à peu de choses près, de se faire une idée du chiffre d’affaire, autant c’est difficile au Costa Rica. Quelques raisons simples à cela :
Par ailleurs l’expérience montre que si une comptabilité est fournie par le vendeur d’un bien commercial, elle est difficilement vérifiable. Dans ce cas nous considérons que cela n’a donc aucun intérêt d’en demander une. Nous n’en demandons donc pas.
Dans certains cas, les factures d’achat vous seront bien plus utiles que le CA annoncé.
Hors cas exceptionnels, il est donc courant au Costa Rica d’acheter son « fond de commerce » sans l’appui d’une comptabilité fiable sur 3 années. A propos de « fond de commerce », il s’agit plutôt de « derecho de llave », voir la même FAQ au #20.
Heureusement il existe d’autres méthodes qui ont fait leurs preuves pour évaluer le prix de reprise d’une affaire au Costa Rica. Il s’agit simplement de revenir aux fondamentaux qui, dans tous les cas, sont bien plus pertinents que des chiffres sur un papier :
En tant que spécialistes de notre secteur géographique, nous sommes là pour vous aider à faire le bon choix.
NB 1 : si malgré ces explications vous ne jurez que par le CA (fut-il invérifiable ou fantaisiste), pire si vous êtes un fétichiste du CA, alors mieux vaut rechercher un bien commercial ailleurs qu’au Costa Rica. Et d’une manière générale, ailleurs qu’en Amérique Latine.
NB 2 : en cas de besoin, pour en reprendre une seconde couche, lisez cet excellent article de Bill Bonner qui vous explique la "comptabilité à l'Argentine", autre pays latino. Si vous ne comprenez toujours pas, laissez définitivement tomber !
C’est une question qui revient souvent. Car de plus en plus de gens, excédés par les tracasseries dont ils font graduellement l’objet dans leurs pays d’origine, vendent tout, laissent tout parfois et s’en vont exercer leurs talents ailleurs … Au Costa Rica par exemple.
Ces nouveaux candidats à l’expatriation, temporaire ou définitive, ont de 25 à 65 ans et sont pour la plupart en âge de travailler. Et ils souhaitent travailler bien sûr plutôt que de croupir devant la télévision à écouter de mauvaises nouvelles.
Petits récapitulatif donc des activités généralement exercées par les étrangers occidentaux au CR :
D’une manière générale, si votre métier ne nécessite pas votre présence physique dans un lieu déterminé, le télétravail, le travail sur Internet notamment. Il est souvent plus intéressant d’exercer le travail délocalisé ailleurs que dans votre pays d’origine. Vous avez généralement tout à y gagner, meilleure qualité de vie, moins de soucis administratifs, fiscalité allégée (Le Costa Rica n’impose pas les revenus perçu hors de son territoire), attrait de la nouveauté, acquérir de l’expérience, apprendre une langue étrangère, voyager …
Rappel : le Costa Rica est un pays qui protège ses ressortissants, il applique donc légitimement la préférence nationale en matière de travail. Inutile donc d’espérer, hors cas rare, trouver ici un travail salarié. Ou bien alors un travail non déclaré c'est-à-dire dans la plupart des cas, sous-payé. Être sous-payé au Costa Rica cela signifie pour un étranger éprouver certaines difficultés à vivre décemment. Hors jeune (ou vieux) routard en mal d’expérience et d’aventure, mieux vaut éviter cette expérience.
Pour exercer vos talents vous serez donc amené à créer votre propre entreprise au Costa Rica ce qui se pratique sans aucune difficulté.
Bon @ savoir : vous ne payez d'impôts au Costa Rica que sur les revenus perçus dans le pays. Le Costa Rica ne se préoccupe absolument pas de ce vous gagnez à l'extérieur de ses frontières. Par ailleurs il n'y a pas de plus-values tant mobilières qu'immobilières.
Question qui revient sans arrêt d’où cette petite mise au point.
Aux étrangers qui vivent ici depuis peu et qui demandent combien dois-je payer ma femme de ménage, mon jardinier… il est souvent répondu un peu vite « 1.000 colones de l’heure ». Soit 2 $ de l’heure.
A l’heure actuelle (septembre 2012) sachez que très peu de gens travailleront au Costa Rica pour seulement 2 $ de l’heure. Du moins dans la zone côtière du Guanacaste où nous vivons. Certains néanmoins prendront vos "2 $ de l'heure" mais ne travailleront pas pour "2 $ de l'heure". Je ne sais pas si vous saisissez bien la nuance. En cas de besoin, relisez la phrase. C'est une notion capitale à intégrer pour tout futur employeur au Costa Rica.
Le salaire minimum pour 8 heures de travail journalier est de 20 $ soit 10.000 colones sur la base de 1 $ = 500 col. Soit 1.250 col. de l’heure. Ceci pour le travail d’un « ayudante », d’un « peón » c'est-à-dire d’une personne sans qualification aucune.
Travaux types : couper de l’herbe à la machette, transporter de la terre ou des pierres dans une brouette, garder la maison, …
Imaginez un peón que vous payez 2 $ de l’heure seulement pour défricher votre terrain à la machette. Vous le déposez au dit terrain à 08:00 et vous partez vaquer à vos occupations. A 9:00 le peón casse la lame de son outil sur une pierre. Et bien quand vous reviendrez le récupérer à 16:00, vous le retrouverez assis sur la pierre. Et il vous expliquera le plus tranquillement du monde que depuis ce matin il n’a pu travailler du fait du bris intempestif de son outil de travail. Inutile de vous énerver, à 2 $ de l’heure, les fameux 1.000 col., n’attendez tout de même pas que votre peón fasse preuve d’initiative, comme par exemple avoir prévu une seconde machette ou vous appeler au téléphone. Pourtant votre peón est souvent livré en série pourvu d’un GSM mais le plus souvent son forfait est épuisé. Il attend que vous le payiez pour le recharger. C’est pas gagné …
Pour avoir un ouvrier un peu plus qualifié doté d’un GSM de série en état d'appeler, une femme de ménage qui sait trouver la prise où brancher le fer à repasser, un jardinier qui fait la différence entre une pelle et un râteau, un gardien qui ne dort pas, il faudra débourser un peu plus. De l’ordre de 1.300 à 1.500 col. de l’heure. 3 $ de l’heure donc, avouez que c’est très supportable. J’en connais même qui paient leur femme de ménage jusqu’à 4 $ de l’heure, une perle paraît-il. Une jolie perle sans doute ...
N’oubliez pas que ces employés « occasionnels » donc non déclarés, ne bénéficient pas des avantages accordés aux salariés notamment : 13ème mois, congés payés, prime de fin de contrat ce qui génère un surcoût salarial d’au moins 30 %. Sans même parler de la sécurité sociale locale, ceci est un autre sujet. Alors même s’il est communément admis que les fameux « 1.000 colones de l’heure » forment une base acceptable, rajoutez d'emblée les 30 % acquis aux salariés. Ce qui vous fera passer illico du statut d’exploiteur esclavagiste (très mal vu !) à celui de bienfaiteur (nobélisable) de l’humanité. Et dans les dîners en ville vous pourrez à l'envie raconter combien vous traitez bien votre personnel alors que, franchement, comme chacun sait, ils ne le méritent pas ... On se console comme on peut …
Ce qui précède concerne un ouvrier qui utilise sa seule force de travail ou son intelligence … euh … sa seule force de travail finalement. C’est aussi vous qui lui fournirez les outils nécessaires à sa tâche, machette, brouette, fer à repasser, crédit téléphonique … Vous apprendrez aussi rapidement la phrase "qualquer problema tu me llamas", très utile, vraiment très utile.
Si votre recrue est pourvue (en option généralement) d’un outil vorace en énergie, une débroussailleuse à essence, une tronçonneuse, un motoculteur … on change carrément de catégorie, il faut donc payer plus. Ailleurs on parlerait d’amortissement du matériel, de retour sur investissement … notions fort heureusement quasiment inconnues ici au Costa Rica. Sauf des comptables, on en trouve aussi, comme partout. Mais ici, au Costa Rica, les comptables ne sortent jamais de leur bureau, ils n'en ont pas le droit, heureusement ! Mais il faut bien payer l’essence, les « consommables » (fil de débroussailleuse, lames de tronçonneuse, …) et cela a un coût certain. Comptez alors, selon le matériel, de 4.000 à 6.000 colones de l’heure soit 8 à 12 $.
Pour des travaux plus conséquents il faudra travailler au « contrato », notion importante au Costa Rica que nous essaierons de développer un jour prochain.
En résumé, payez vos employés costariciens au juste prix, ils vous le rendront bien. Et surtout, ne vous énervez pas ! Parce que vous le valez bien ? Non, parce que ça ne sert à rien !!!
Plusieurs fois par semaine, je reçois des courriels de personnes qui veulent tout plaquer en Europe, au Canada … pour venir vivre au Costa Rica. Jusque là tout va bien.
La moitié environ de ces personnes en âge de travailler a pour projet professionnel de vivre du tourisme. Tout va toujours bien car le Costa Rica, sur sa côte pacifique et dans une moindre mesure sa côte atlantique vit beaucoup du tourisme. Car ce petit pays tropical offre véritablement énormément d’atouts, le soleil, la plage, la nature, les animaux, les Ticos / Ticas, le coût de la vie en général, la douceur de vivre … Et il reste encore beaucoup à faire dans ce secteur.
Et puis le Costa Rica offre des centaines de kilomètres de plage toutes plus attirantes les unes que les autres. Je conçois tout à fait qu’en plein hiver, dans une ville morose, collé au radiateur, la simple vision sur son écran d'ordinateur d’un palmier ou d'un cocotier penché vers la plage déserte de sable blanc suffise à déclencher une irrésistible envie d’y installer un petit bar sympa où, le soir venu, tout le monde se réunira pour :
On s’y voit déjà, hein ? Moi-même, dans mon bureau, collé à la climatisation, j’en salive d'avance, c’est dire !
Alors ok, nous sommes tous d’accord, on vend tout et on s’envole pour le Costa Rica. On n’a rien à vendre … génial, on peut partir plus vite ! Au fait, où va-t-on ? Et c’est là que les choses commencent à se gâter …
Certains par exemple m’expliquent en long et en large leur projet, passionnant souvent et pour finir me confient : oui mais voilà, vous comprenez, on n’est pas des touristes, le tourisme de masse c’est pas pour nous, on veut vivre comme les Ticos … bla bla bla … bla bla bla …
Aïe aïe aïe … ça commence mal … car par définition on peut vivre du tourisme là où il y a des touristes justement ! Car autrement, vivre du tourisme sans les touristes, même en cherchant bien, vraiment je ne vois pas.
Quant à vivre comme des Ticos dans la nature du Costa Rica, il est préférable de d’abord passer son CAP Koh-Lanta. Et de toute façon, tant que vous ne parlez pas espagnol avec, en plus, l'accent local, vous ÊTES et vous RESTEZ aux yeux des locaux, un touriste. Et si par malheur vous vous êtes, avant de partir, habillés des pieds à la tête chez Décathlon, vous êtes un GRINGO. La « banane » en bandoulière, là, illico vous montez en grade, c'est tarif SUPER-GRINGO ! Au Costa Rica la banane ça se porte dans le bananier, pas sur la bedaine. J'en vois d'ici qui pensent « Aïe, on n'aurait pas dû faire les soldes chez Décathlon, mauvaise pioche ! ». Pas grave, revendez le tout à votre beau-frère qui part en Thaïlande.
D’autres doux rêveurs imaginent qu’en vendant leur Renault Fuego de 1982 et tout l’attirail qu’ils ont accumulé depuis leur 1er job d’étudiant, ils auront assez pour se monter un « petit bar de plage au Costa Rica ». Je m’en veux horriblement de briser leur rêve mais à part poser 2 tréteaux plus une planche sur une plage forcément déserte et d’acheter LA méga-giga-glacière de compétition qui tiendra le froid jusqu’à la nuit, là non plus, je ne vois pas. Un avantage quand même, les plus petits pourront toujours dormir dans la glacière, ça économisera l’hôtel.
Alors, QUID de mon petit BAR de PLAGE au Costa Rica, pas possible alors ???
Bien sûr que si mais en ayant à l’esprit ce qui suit :
Des exemples typiques de budget à prévoir :
Conclusion :
- si l’un des points relevés ci-dessous vous concerne directement, détendez-vous, souriez, c’est de l’humour. Tout le monde, même vous, même moi, plus moi même, a droit à l'erreur.
- Plus de 2 points par contre, là déjà on rigole moins, songez quand même à vous poser sérieusement des questions. Profitez d'un moment de repos, des vacances au Costa Rica par exemple, pour vous demander si vraiment, la connerie, comme l'enfer, ne concerne que les autres. Bien emmenée, cette question peut vous occuper une partie de votre vie.
- 3 points, c'est carrément sans espoir, incurable, par pitié allez voir mes concurrents !
Au MINIMUM d’investir dans une puce téléphonique *** car :
Car nous sommes ici au Costa Rica, je le rappelle au besoin.
Par ailleurs cela semble la moindre des politesses ! Surtout quand comme certains (de plus en plus), de surcroît, on ne prend pas non plus la peine de prévenir de son arrivée. Ça c’est le double effet Kiss Boules, la disqualification d’entrée de jeu. Game over !
Car que diriez-vous si je débarquais à l’improviste pas loin de chez vous en vous demandant de m’appeler sur un numéro costaricien pour un motif peu clair, voire carrément fumeux ? Vous m’inviteriez certainement à aller me faire voir chez les Grecs en crise. Et bien voilà, tout pareil !
Par conséquent, le prochain qui me la joue « coucou c’est moi qu’est là, la la lère, pouvez-vous me rappeler au 06 … » c’est direct case « poubelle » sans passer par la Case Départ ni toucher les 20.000 francs. CQFD.
@ vous de jouer, chassez la grenouille téléphonique Kölbi dès l’aéroport ou bien sur le bord des routes du Costa Rica. Elle est partout !
*** à partir de 1.000 Col. soit moins de 2 $ dans toutes les boutiques qui portent le logo KÖLBI reproduit ici. Il s’agit de ICE, la compagnie historique nationale de télécommunications du Costa Rica. Pensez à vous munir de votre passeport, il vous sera parfois demandé.
Important : pensez avant de partir pour le Costa Rica à vérifier que votre téléphone est bien "débloqué" et peut accepter tous types de cartes SIM autres que celles de votre opérateur habituel.
Il existe (en 2015) d’autres opérateurs téléphoniques & Internet tels que Claro, Movistar, Fullmóvill, Tuyo Móvil et certainement d’autres à venir mais pour une meilleure couverture (de survie), préférez pour l’instant l’opérateur historique ICE.
Bonus, vous vous assurerez ainsi notre éternelle reconnaissance ;-))
A lire attentivement par tous ceux qui ont décidé de quitter leur pays d’origine pour investir au Costa Rica. Spécialement dans les métiers du tourisme et notamment l’hôtellerie et bar & restauration.
Certes, j’ai déjà traité en partie cette question à la FAQ #20 mais j’y reviens tant cela me semble important. D’autant que plus du tiers des demandes que je reçois sont concernées.
Constat :
Il n’a en général pour tout bagage que les renseignements qu’il a réussi, à distance, à glaner sur Internet et qui au minimum sont :
Que penseriez-vous d’un tel acheteur qui, au bout de quelques jours, 2 ou 3 semaines au maximum, déciderait d’investir ici ou là, dans ceci ou dans cela ? Qu’il est fou ? Sans doute pas, mais au minimum qu’il est extrêmement imprudent dans la gestion de son argent.
Ainsi, sauf exception des affaires commerciales d'ores et déjà listées sur le site à la rubrique Affaires commerciales, je ne traiterai plus à l'avenir ce type de demande que sous forme de mandat de recherche.
Avantages :
Coût : 3 % de l’investissement prévu en contrepartie des frais de recherche. Avec un minimum de 2.500 $ par recherche. ½ au démarrage de la recherche et ½ quand elle a aboutie.
Rien de plus car, en cas d’achat effectif, les frais d’agences sont dans la quasi-totalité des cas payés par le vendeur.
C’est l’assurance d’un accord gagnant - gagnant qui profite à tout le monde !
Certains d’entre vous, lors de leur recherche d’un bien immobilier au Costa Rica, en profitent pour faire également du tourisme et visiter le pays.
Ce qui s’avère d’ailleurs souvent fort utile car cela vous permet de repérer les endroits qui vous plaisent et ceux que vous souhaitez définitivement écarter.
Nous vous encourageons vivement à faire ce périple de façon à, lorsque l’on se rencontre, pouvoir parler de choses concrètes et précises. La simple expérience de terrain, même courte, vaudra toujours mieux que tous les guides ou forums du monde.
Autant nous sommes compétents en immobilier et ses dérivés, autant nous ne sommes absolument pas organisateurs de voyage au Costa Rica, ni guides, ni voyagistes, ni hôteliers, ni loueurs de voitures … aussi nous ne pouvons vous renseigner correctement que sur les quelques zones du pays que nous connaissons bien. Ce n’est en général pas suffisant pour répondre à votre demande. Car le Costa Rica est un petit pays, certes, mais immensément riche de tant d'atouts que pour ainsi dire, nous n'en avons encore rien vu !
Ce partenaire vous offre notamment :
N’hésitez pas à faire appel à eux pour que votre séjour au Costa Riva vous laisse des souvenirs impérissables et aussi - là c’est l’agent immobilier qui parle - l’envie irrésistible de vous y installer.
Écrivez-nous et nous vous enverrons aussitôt leurs coordonnées complètes.
Bon, aujourd’hui encore je sens qu’il va encore falloir faire du social et rassurer.
Car je reçois souvent cette question du style « Mais pourquoi ce terrain, cette maison, cette affaire … figure sur votre site depuis des lustres (l’époque romaine quasi, NDLR) … Mais pourquoi PERSONNE ne l’a encore acheté … bla bla bla … cela doit forcément cacher quelque chose … bla bla bla … c’est surement tout pourri … bla bla bla … ».
Prenons l’exemple de Tamarindo et ses environs, station balnéaire de la Côte Pacifique Nord du Costa Rica. Tamarindo est une zone très dynamique où l’on trouve beaucoup d’étrangers de diverses provenances dont les États-Unis, le Canada, La France, la Belgique, la Suisse, l’Allemagne, l’Italie, la Hollandie … même des ressortissants de Chine, c’est dire ! Bizarrement peu de gens d’Espagne, comme quoi la « barrière de la langue » dont on me rabâche sans cesse les oreilles a ses limites. Peu d’Anglais également ou bien alors ils m’évitent soigneusement. Nous sommes par conséquent dans une zone internationale et le propre de ces endroits c’est que ça bouge beaucoup ! Des gens arrivent, d’autres partent, d’autres encore regrettent d’être partis et donc reviennent au galop, tout penauds, ventre à terre… Le marché immobilier est par conséquent hyper dynamique ! N’étant pas économiste, je ne suis pas pour l'instant assez intelligent pour calculer le ratio [biens disponibles / biens annuellement vendus] mais il doit être très élevé car le turn-over dans la région de Tamarindo est vraiment important.
Cela signifie-t-il pour autant que l’encre des contrats de vente n’a pas encore eu le temps de sécher que le bien est déjà vendu ? Que nenni ! Et quel dommage car sinon tous les agents immobiliers seraient ornés comme des avocats costariciens, de grosses chaînes en or autour du cou et de bagouzes d’un kilo et demi du même métal à chaque doigt. Des files de Porches Cayenne seraient garées devant les bars à la mode et les discothèques où des latinas lascives à souhait se trémoussent langoureusement pendant que lesdits agents s’enfilent des cocktails multicolores jusqu’au bout de la nuit avant de rentrer à l’aube naissante avec sous chaque bras une de ces troublantes beautés de la nuit … STOP !!! Ça c’était ma vie d’avant mais je vous le rappelle, au besoin, on a eu La CRISE et maintenant c’est beaucoup moins drôle. J’exagère un peu, pas la crise, les jolies latinas mais c’est ce qui ressortait explicitement d’un reportage TV commis voici quelques années sur un agent immobilier officiant du côté de Jaco il me semble. Plus c’est gros et plus ça passe comme on dit vulgairement.
Mais revenons à nos moutons, un marché très dynamique donc, l’immobilier pas les moutons, mais ce n’est pas pour autant Paris ou New-York. Ce qui signifie que la « masse d’acheteurs potentiels » (je parle en économiste) à Tamarindo est infiniment plus réduite qu’à Paris ou New-York. Mécaniquement, chaque bien à la vente mettra globalement plus de temps à trouver son acquéreur. Même si, ici comme ailleurs, un bien correctement placé mis en vente au prix du marché ou légèrement en dessous (il faut être malin si on veut vendre vite) partira généralement en quelques mois.
Ceci est encore plus vrai au sujet des terrains, depuis le petit terrain à bâtir jusqu’à la finca de plusieurs centaines d’hectares. Car il y a encore beaucoup de foncier disponible au Costa Rica. Le pays n’est pourtant pas immense mais la moitié de ses habitants sont concentrés dans la Vallée Centrale. Le prix au m² reste donc encore très abordable dans ce pays. Le plus cher étant, comme partout ailleurs, le bord de mer, du moins dans les zones fréquentées. Il y a encore beaucoup de terres à vendre au Costa Rica. Ce n’est donc pas parce qu’un terrain ne trouve pas immédiatement son acheteur qu’il est plus ceci ou moins cela. Je le rappelle, le marché est restreint en « masse » et il faut donc du temps pour que les stocks s’écoulent.
Paradoxalement, certains biens restent à la vente parce qu’ils ne sont pas assez chers. C’est vrai parfois pour les affaires commerciales et certains terrains. Dans ce cas, il suffit de doubler le prix et, très rapidement, un français plus malin que les autres passe par là et rachète illico en se félicitant d’avoir réalisé l’affaire de l’année.
Vous l’avez compris, le fait qu’un bien reste à la vente un certain temps ne signifie rien de plus qu’il est à la vente depuis un certain temps. Se triturer les méninges pour savoir pourquoi est une activité vaine et qui ne débouche sur rien d’autre que de l’anxiété superflue.
Pour conclure je m’adresse à mes clients et lecteurs masculins qui sont en légère majorité d’après mes fiches. Honnêtement (si cela est possible), votre femme, votre fiancée, votre petite amie ou que sais-je encore (ça devient de plus en plus compliqué !) est-elle avec vous simplement parce que vous avez été le PREMIER à passer devant ses yeux ? Ou bien vous a-t-elle CHOISI après avoir écarté des dizaines, que dis-je des centaines, des milliers de candidats potentiels ?
Répondre à cette question c’est aussitôt comprendre alors POURQUOI une maison, un terrain, un restaurant … attend la plupart du temps son nouveau propriétaire un CERTAIN temps. « Parce que c'était lui, parce que c'était moi. » comme l’a dit Montaigne avant moi.
Et puis quand « on aime on ne compte pas », je finirai là-dessus pour aujourd’hui.
Ah non, tiens cela me fait penser aux Quatre Accords Toltèques, un livre best-seller que je n’ai pas lu mais dont l’une des 4 (c’est dans le titre) idées principales est : « Ne faites pas de suppositions ». Les applications de cette maxime sont innombrables, je n’en doute pas et elle s’applique particulièrement bien à l’immobilier, spécialement quand ledit immobilier se trouve tout là-bas, au delà des mers.
Alors ne supposez pas, venez, faites-moi ce plaisir, regardez et décidez en fonction de ce que vous ressentez.
Posez-nous toutes vos questions en rapport avec le Costa Rica
Vous avez un projet de vie, retraite, immigration, installation, investissement, immobilier, location, construction … proche ou plus lointain, relatif au Costa Rica. Vous vous êtes par conséquent déjà demandé :
Questions générales :
- Quel est le lieu où il préférable de m’implanter ?
- Mon projet est-il vraiment valable, faisable ?
- Quel type de travail puis-je faire là-bas ?
- La scolarité des enfants ?
- La santé ?
Questions particulières :
- Le bien (maison, appartement, commerce …) qu’on me propose vaut-il vraiment le prix demandé ?
- Dans ma situation (expliquez) ai-je une véritable opportunité d’obtenir la résidence ?
- J’ai un doute à propos de - ceci ou cela - Qu’en pensez-vous ?
- Puis-je réellement vivre avec x $ par mois au Costa Rica ?
Vous n’êtes pas tout seul, tout le monde à peu près se pose à un moment ou à un autre des questions qui varient en fonction de chaque situation. Et fort logiquement, avant de sauter le pas, vous recherchez à obtenir des réponses fiables et actuelles.
Par contre, cela se complique un peu lorsqu’il s’agit de déterminer À QUI POSER SES QUESTIONS ?
- Dans les forums ? Les forums sont remplis de gens serviables mais qui n’ont que leur propre expérience à partager. C’est louable certes mais c’est trop peu car la situation de chacun est particulière. On y rencontre aussi beaucoup de farfelus dont certain « très actifs sur les forums » mais n’ayant jamais mis les pieds au Costa Rica. Véridique ! Pire, des petits malins qui sont uniquement là pour vendre leur camelote sans avoir l’air d’y toucher.
- Auprès des agents immobiliers ? Étant moi-même agent immobilier, j’ai passé ces dernières années une bonne partie de mon temps à répondre à des milliers de questions à propos du Costa Rica. Mais le but ultime, s’il veut pouvoir vivre de son métier, d’un agent immobilier est de vendre. Ses réponses seront donc obligatoirement orientées vers cette optique, rien à voir avec votre besoin à vous. Car poser une question à une personne dont c’est le métier de vous vendre quelque chose et en attendre une réponse impartiale n’a, par définition, aucun sens. Et pourtant c’est ce que beaucoup de gens font.
- Auprès des avocats. Oui peut-être mais quel avocat ?
- l’Ambassade de France au Costa Rica, de votre pays ? Ce n’est pas son rôle.
Alors à QUI ? C’est simple, pour apporter une réponse à cette problématique que tout le monde rencontre à un moment ou l’autre, toute l’équipe de CRI se joint à moi pour vous proposer ce service exclusif :
Répondre à toutes vos questions en rapport avec le Costa Rica
Notre offre : pas de langue de bois, pas de blabla, droit au but, simple, clair et efficace, il suffit de parcourir le site (notamment Le Costa Rica / Actualités / FAQ) pour s’en rendre compte.
Coût : tarif dégressif de lancement limité au 30 septembre 2015. Voir ci-dessous.
@ lire préalablement SVP :
- Si vous trouvez que c’est cher, continuez à rester dans l’incertitude ou à poser vos questions ailleurs mais ne soyez pas étonné de ne pas recevoir de réponse ou pire, de recevoir des réponses erronées.
- Une réponse erronée ou orientée dans un sens qui ne vous est pas favorable peut vous valoir la perte de tout ou partie de vos avoirs. Également de vos illusions et même de votre santé … Par conséquent vous regretterez longtemps et amèrement de ne pas avoir posé au bon moment les bonnes questions aux bonnes personnes, à celles qui n’ont aucun intérêt à vous dissimuler quoi que ce soit.
- Une seule de nos réponses à une seule de vos questions peut vous sauver la mise. Pour peu bien entendu que vous en teniez compte. Par exemple, on ne vous dira pas comment devenir riche au Costa Rica mais on vous dira comment ne pas finir ruiné.
Coût du Service :
Posez votre première question - Cliquez ICI
Notes :
Règles :
Le produit phare de nos acheteurs ce sont les « small businesses » c’est-à-dire des maisons d’hôtes, chambres d’hôtes, gîtes, B&B … ce qu’on appelle au Costa Rica communément « cabinas ».
En effet c’est un moyen simple de se procurer des revenus parfois complémentaires à d’autres revenus tels que rentes, pensions de retraite, travail sur Internet ... Vous être 30 à 40 % des clients potentiels à rechercher ce genre d’affaires et nous nous efforçons donc de vous en trouver à prix inférieur au marché et bien placés.
NB : cet article vaut aussi pour les reprises de bail de commerces.
2 questions reviennent quasi systématiquement dans vos e-mails et je vais y répondre ici une fois pour toute.
A] Quel est le CA (Chiffre d’Affaire) BRUT et le bénéfice NET réel ou escompté de cette affaire ?
Certains propriétaires auront des chiffres très complets à vous fournir et d’autres rien du tout. Certains auront une comptabilité et d’autres non. Certains feront des déclarations légales (des « pertes » en général) et d’autres non. C’est ainsi au Costa Rica et vous n’y changerez rien.
Lorsque nous avons des chiffres nous ne les divulguons pas publiquement sur Internet. Et nous ne leur accordons pas plus d’importance que cela car ce ne sont que des chiffres. Et on n’achète pas des chiffres, on achète une affaire.
Lorsque nous n’avons pas de chiffres, pour calculer le CA BRUT annuel d’un small business - on ne parle pas ici d’une société cotée au CAC 40 ;-)) - nous calculons ainsi :
Taux de remplissage :
Donc en quelques minutes vous connaitrez, sans le demander à personne, le CA BRUT prévisionnel de l’affaire que vous envisagez d’acheter. Sachant qu’il vous faudra privilégier 4 aspects :
En conclusion, quand on parle « small business » on parle uniquement en BRUT. Car le NET dépendra intégralement de vous-même et de comment vous gérez votre affaire. Et non pas de comment l’ancien propriétaire la gérait !
Par exemple :
- Allez-vous payer quelqu’un pour le ménage et la maintenance ? Ou bien allez-vous le faire vous-même ?
- Allez-vous gérer vous-même votre affaire ou passerez-vous par un gérant?
- Allez-vous utiliser les différentes plateformes (Airbnb, Booking, Tripadvisor…) pour louer ? En ce cas calculez une commission de 4 à 18 % selon la plateforme.
- Incluez-vous l’électricité dans la location (pour les climatiseurs notamment).
- Aurez-vous un FB dédié ou un site Internet ?
- …/…
De tout ce qui précède va dépendre votre ROI (retour sur investissement) et aussi et surtout des efforts que vous faites pour promotionner votre propriété.
Pour prendre une image c’est comme si vous achetiez un vélo et demandiez au vendeur de bicyclettes : - A combien vais-je rouler avec ça ?
La réponse est on ne peut plus simple : - Cela dépend à quelle vitesse vous pédalez !
B] Pourquoi le propriétaire vend si ça rapporte ? Autrement dit, soyons clair, « j’ai peur de me faire avoir ».
Les propriétaires vendent pour de multiples raisons : retour au pays, retraite, les enfants, les parents, changement de projet, de pays, maladie … le monde des expatriés est dynamique et bouge énormément !
Par ailleurs j’ai récemment lu qu’en France il y a eu plus d’1 million de ventes (source = Notaires) sur un an glissant en 2019, c’est énorme ! Idem, chacun a de bonnes raisons de vendre ou d’acheter, c’est la vie !
Je suppose que vous avez de bonnes raisons d’acheter au Costa Rica et donc le plus souvent de vendre votre immobilier dans votre pays d’origine.
Est-ce louche ? Non, c’est simplement une décision de changer de vie comme beaucoup d’entre nous le font ou le feront au fil de l’existence. Cela vaut dans les 2 sens !