Actualités par Costa Rica Immobilier / 2006 - 2019 / "LA CRISE" ... faut gérer !!!

Le but avoué de cette page est de vous présenter ce qui va bien ici, au Costa Rica et ce qui va moins bien chez vous, en France, en Belgique, en Suisse, au Québec …Dans le but premier de contribuer à la « réinformation » qu’offrent parfois les médias alternatifs du Net. Car les medias dits « traditionnels » on cessé depuis belle lurette de vous informer.
A propos de crise, nous pensons que le déclin qui a commencé en réalité en 2007 n’est pas une crise justement mais plutôt une récession. Et une récession ça dure, ça dure … depuis 25 ans au japon par exemple. Et rien ne dit que cette recession aura une fin à moins peut-être de passer par une nécessaire et vitale mutation.
Là est sans doute la clé de la nouvelle ère ...

Mais dans le moment présent, il ne s’agit pas de se lamenter mais plutôt de réagir intelligemment face à ce phénomène. Nous déplorons fortement l’inertie des politiciens, de droite comme de gauche, qui, forts des bienfaits des 30 glorieuses (1945 - 1974) n’ont pas pris la mesure des 35-40 dernières années. Car ils n’ont su que créer de la dette au lieu de développement. Nous disons développement et pas « croissance » (au sens keynésien du terme) car la croissance à tout va, chère aux politiciens de tout poil, n’est qu’un mythe destructeur puisqu’on vit sur une planète finie et qu’on n’en a pas de rechange. A moins bien entendu qu'on choisisse la croissance durable.
Alors plutôt que de croire en leurs vaines promesses, demain on rase gratis, nous préférons anticiper et prendre en main notre vie et notre avenir. Celui de nos enfants aussi. De l’information orientée peut-être mais de la vraie information.

  • 1945 - 1974 : les 30 glorieuses : période de forte croissance économique.
  • 1975 - 2004 : les 30 menteuses : croissance artificiellement entretenue grâce à la dette.
  • 2005 - 2034 : les 30 piteuses ? On en reparle dans quelques années …

D’ici là, on réagit et on anticipe … Coluche disait : "Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c'est une crise. Depuis que je suis petit, c'est comme ça". Oui, pour moi aussi, depuis toujours, "c'est comme ça" ! J'ai juste envie de me donner la chance qu'il en soit autrement ...

PS : introduction à Actualités écrite en 2011


L'Actualité du jour


N° 14 - Marché immobilier 2012 : vers un rebond après les élections. ATTENTION, pure désinformation !
Publié le : 23/03/2012 - Source : LaVieImmo

(Relaxnews) - Après plus de six mois de marasme, l'immobilier devrait reprendre des couleurs dès la fin de la période électorale. C'est en tous cas ce qu'affirme le site internet des annonces immobilières des notaires, Immonot.com, dans sa "Tendance du marché immobilier". Publiée en mars 2012, elle se fonde sur une enquête réalisée auprès d'études notariales en janvier et février 2012.
Selon cette dernière, dès la fin des élections et quel que soit le candidat élu, le prix des compromis de vente, après avoir baissé pendant un semestre et demi, devrait repartir à la hausse.
Les prix de vente devraient à nouveau augmenter cet été. Immonot.com conseille donc aux acheteurs de se décider à concrétiser leur projet avant que le marché ne reparte de l'avant.

Commentaire CRI :

Par curiosité, je suis allé voir sur le site des notaires ce qui pouvait pousser à tant d’optimisme béat. Je n’y ai trouvé de probant que le graphique ci-contre qui montre que, en janvier et février 2012, 83 % des conseils donnés par les notaires concernent des ventes de logements et 13 % des achats. Soit plus de 6 vendeurs potentiels pour 1 seul malheureux acheteur potentiel. Pas de quoi s’exciter ! Car que se passe-t-il quand dans un marché l’offre excède de plusieurs fois la demande ? C’est très simple, les prix s’écroulent !
Faute d’arguments, les notaires mettent ces chiffres carrément calamiteux sur le compte de la période électorale. Car il faut bien trouver un coupable, technique du bouc émissaire oblige. Or, pas de chance, un tout récent sondage IFOP du 15 mars 2012 commandé par Guy Hoquet, consultable ICI, montre que plus des ¾ des acquéreurs ou acheteurs ne prêtent strictement aucune attention à ce contexte. Comme dit le poète, ils s’en tamponnent le coquillard ! D’autant plus qu’ils savent bien que, de toute façon, après les élections, quel que soit le candidat élu, ils seront essorés, rincés. La messe est déjà dite, Alléluia !

Immobilier des Notaires, février 2012, conseils achats logements = 13 %, conseils ventes logements 83 %

 



N° 13 - Le Costa Rica s’inquiète de la mauvaise santé économique de l’Union Européenne.
Publié le : 21/03/2012 - Source : La Nación

Le Costa Rica qui espérait que l’accord d’association entre l’Amérique Centrale et l’Union Européenne soit signé au plus vite s’inquiète d’une possible lenteur quant à une prochaine ratification. En effet, d'après la presse, l’Union Européenne semble plus préoccupée, du fait de la crise, à venir en aide à des économies de pays comme la Grèce, l’Espagne ou l’Italie. Le Costa Rica qui espérait l’accès à un marché de 500 millions de consommateurs craint que l’UE ne s’enferme dans des politiques protectionnistes.
 

Commentaire CRI :

Tout est dans le titre de l'article ... le monde à l'envers en quelque sorte ... surréaliste et significatif tout à la fois.



N° 12 - Riches ... planquez-vous ! Par Henri Dumas.
Publié le : 15/03/2012 - Source : Objectif Eco

"Mon voisin est riche, il a la voiture dont je rêve. Je connais beaucoup d'autres riches qui possèdent les piscines dont je rêve, les maisons dont je rêve. Et, n'allez pas me dire que cet autre voisin n'est pas riche, il suffit de regarder la beauté de sa femme. Qui pourrait, sans être riche, avoir une femme aussi belle et qui ne travaille pas ?

Les riches, je les reconnais dans la rue à leur façon hautaine de marcher, à leurs vêtements dont je connais le coût de toutes les griffes. Je connais aussi le prix de leurs bijoux.

Il faut les supprimer, totalement. Les ruiner ne suffira pas, ils dissimuleront, ils se planqueront. Vous ne connaissez pas les riches, moi je les connais. Ce sont des voleurs, des menteurs. Ils ne sont pas comme vous et moi, habillés chez Décathlon, nourris chez McDo, ils ne roulent pas en Renault. Pour eux c'est les voitures allemandes, le luxe, les hôtels et les restaurants du Michelin, voir le Club Méditerranée.

Mais aujourd'hui, bas les masques, ils sont traqués. Tous les candidats promettent de les éradiquer. Hollande et les autres les feront payer, Sarko va les poursuivre à l'étranger, car ils vont fuir ces lâches, avec leur fric. Je le sais, j'ai un cousin riche, il prépare son départ.

Nous ferons un nouvel homme français, collectif, simple, qui aimera son pays, qui partagera sa voiture, sa maison, qui se déplacera exclusivement en bus, en métro ou en train. Qui n'aura pas besoin d'électricité, de pétrole. Qui mangera peu, se lavera modérément, abolira les parfums et autres cosmétiques. Qui cachera sa beauté… s'il est beau.

Nous serons tous des frères, nous deviendrons des modèles pour l'humanité dépravée. Les riches, nous les tuerons. Nous reprendrons ce qui nous appartient. Ce qui est à eux est à nous, puisqu'ils nous l'ont volé.

Moi, sur mon petit bateau, je pars faire le tour du monde. Je n'ai besoin de rien. Où je vais les hommes vivent avec si peu de choses, c'est le bonheur.

Mes enfants travaillent à l'école, mais ils ne veulent pas devenir riches, au contraire. Il parait que Mélenchon prévoit de diminuer le salaire de ceux qui travaillent trop. Travailler plus pour gagner moins. Ca c'est bien, ça fera les pieds à mon con de chef. Bon, je vais voter. Aujourd'hui, c'est moi qui décide."

Sale temps

La collectivité est prise d'un coup de folie.

Chacun sait que les dépenses incontrôlées sont la pollution de l'économie.

Tout le monde s'accorde sur le principe de la responsabilité des pollueurs, qui s'énonce "pollueurs = payeurs". Entend-on dire que la pollution doit être partagée entre tous, que tel armateur qui échoue son pétrolier sur les côtes n'est responsable de rien ? Non.

Pourquoi les dépenses incontrôlées, pollution de l'économie, ne seraient non seulement pas à la charge de ceux qui les ont faites, mais à la charge exclusive de ceux qui en subissent la pollution. Cela reviendrait à faire payer aux bretons un Amoco Cadiz neuf à l'armateur, en guise de sanction pour avoir vu leurs côtes souillées par le naufrage de ce dernier !!!

Les dépenses incontrôlées sont le fruit du mariage contre nature entre la politique et l'économie. Un seul candidat aux élections présidentielles propose-t-il la séparation de ces deux pouvoirs ? Non, aucun.

Le contribuable français

Mélenchon (et il y a pire) :

Prend tout au dessus de 360.000 €. Mais attention, à 360.000 € vous avez déjà payé 180.000 € d'impôts, il ne vous reste que 180.000 €. Donc, vous ne gagnerez jamais plus de 180.000 € avec Mélenchon !!! Jamais, de toute votre vie. Si, comme moi, les fous du fisc vous ont concocté 2 M€ de redressements fictifs ... Pendant plus de dix ans vous travaillerez pour rien. Rien, rien, c'est-à-dire vous ne mangerez pas, vous vivrez sous les ponts. En fait, vous êtes mort.

 

François Hollande

Hollande :

Idem, avec un plafond plus haut, mais accompagné d'un prélèvement plus fort avant le plafond. Même résultat, à quelques milliers d'€ près.

 

Sarkozy : ENSEMBLE TOUT DEVIENT TAXABLE

Sarkozy :

Le plus vicieux. Lui, il ne prend pas maintenant. Il regroupe, il prendra plus tard. Pour tondre les moutons, il faut d'abord regrouper le troupeau. Alors Sarko, il vous interdit de partir, et si vous partez, vous payez quand même. Vous n'allez pas au cinéma … vous payez quand même la place.

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Pour tous les autres, c'est la même chanson : "Dépensons, les riches paieront".

Tout droit vers le pillage

C'est très impressionnant de voir tout un pays qui s'apprête à piller ses forces vives, ses créateurs de richesses. La violence sera de la fête, c'est incontournable. Nous allons voir réapparaître les frontières, nous ne pourrons plus sortir du mouroir économique, prisonniers et pillés, tel est notre futur. Bravo, félicitations.

La prise de Bercy n'est pas pour demain, le pillage des riches oui. Alors que réduire Bercy, citadelle de la corruption, séparer l'économie et la politique permettrait de redonner sa dynamique à la première et sa noblesse à la seconde.

Aucun candidat ne le propose parce que la majorité ne veut pas l'entendre, la majorité veut piller. Elle pillera.

Commentaire CRI :

Rien pour une fois, ou presque, sinon que j’approuve à 200 %. La politique française m’est devenue insupportable. Ces clowns pathétiques m’écœurent au plus haut point. C’est à qui taxera le plus … et les français approuvent … la démagogie finalement, ça paye !



N° 11 - L'UNPI fustige le matraquage fiscal des propriétaires et met en garde contre le risque de désinvestissement massif.
Publié le : 14/03/2012 - Source : Boursorama

Illustration du matraquage fiscal de l'immobilier locatif en France

En additionnant impôt sur le revenu, prélèvements sociaux, voire l'ISF et/ou la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus instaurée en 2012, la rentabilité nette d'un immeuble locatif ancien tendrait à se rapprocher de zéro. En outre, le matraquage appliqué à coup de lois de finances et lois de finances rectificatives (quatre en 2011) sur les propriétaires bailleurs, découragerait l'investissement immobilier. Ce sombre constat est celui que dresse Jean Perrin, président de l'Union nationale de la propriété immobilière (UNPI), qui souhaite alerter l'opinion sur un risque de désinvestissement massif, si les pouvoirs publics continuaient à accentuer la pression fiscale sur les propriétaires.
Cet organisme demande donc une baisse de la fiscalité des revenus fonciers, le rétablissement d'un abattement de 15% sur ces derniers, l'instauration d'un amortissement des immeubles acquis par les particuliers sur trente ans et le plafonnement de la hausse de la taxe foncière.

Commentaire CRI : je fais actuellement une fixation monomaniaque sur la dégradation de l’immobilier en France, désolé ! Mais d’une part c’est mon métier et d’autre part j’étais moi-même autrefois propriétaire bailleur. En lisant ce qui précède je ne peux que me féliciter d’avoir vendu en 2005 mon parc locatif.
Car il est clair que si l'on rajoute à la bérézina ambiante la défection d’un locataire, le rendement devient franchement négatif sans compter les ennuis de toutes sortes. Les nuits sans sommeil notamment, cela m’est arrivé souvent en pensant à des locataires oisifs grassement appointés par nos divers, nombreux et variés prélèvements obligatoires qui se permettaient en outre de ne pas payer le peu de loyer ou de charges qui leur restait à acquitter.
Tout cela sans parler de l’augmentation des assurances, de la fiscalité locale, des syndics, des incessants « diagnostiques » (risques naturels et technologiques, performance énergétique et risque d’exposition au plomb) et j’en passe.

 

Commentaire CRI :

Ce n’est plus de la motivation qu’il faut aujourd’hui pour louer des logements, c’est de l’abnégation et une bonne dose d’inconscience ou de masochisme !



N° 10 - Immobilier : la baisse des prix est vraiment en vue.
Publié le : 06/03/2012 - Source : Challenges

ENQUETE / Les records de 2011 appartiennent au passé. Le climat économique morose, les nouvelles mesures fiscales et la remontée des taux de crédit ont provoqué un retournement presque partout en France.

Est-ce la proximité de la présidentielle, la montée des taux, la fin du prêt à taux zéro ou le durcissement du régime des plus-values ? Depuis 2 mois, le marché de l'immobilier est comme suspendu : les propriétaires attendent le passage d'un visiteur sérieux; les agents espèrent le coup de fil d'un acheteur solvable; quant aux banquiers, ils ne courent pas après le client.
Conséquence : les prix, qui ont augmenté en moyenne de 6,5% l'an dernier - battant un nouveau record à Paris au quatrième trimestre, à 8.390 euros le m² -, sont orientés à la baisse.

Pour les propriétaires qui n'ont pas réussi à trouver un acheteur rapidement, c'est la catastrophe. "Aujourd'hui, si les vendeurs n'ont pas eu de visite dans les trois premières semaines, il faut qu'ils baissent leur prix de 10 à 15 %", avertit Sébastien de Lafond, PDG du site MeilleursAgents. Car le temps joue contre eux. Jean-François Vernier a déjà diminué de 15 % le prix de sa maison près d'Angers. Mais les "touches" se font rares, "les deux acheteurs vraiment intéressés ont dû abandonner, faute d'un accord de financement", regrette-t-il.

Car les banques ne prêtent plus. "Depuis l'automne, elles n'ont fait aucune campagne publicitaire sur le crédit immobilier. C'est un signe", remarque Jean-Michel Guérin, directeur général du site De particulier à particulier. En fait, les établissements ont surtout durci leurs exigences quant à la stabilité de l'emploi et l'apport personnel.

Des prix trop élevés pour l'immobilier ancien en France

Acheteurs désolvabilisés :

A cela s'ajoute la hausse des taux : les crédits à moins de 4 % sur 20 ans ont quasiment disparu du paysage. "Depuis leur plus bas de fin 2010, les taux des prêts ont augmenté d'au moins 0,65 point", explique Michel Mouillart, professeur à l'Université Paris 10.
Les primo-accédants sont les plus mal traités : impossible d'obtenir un taux inférieur à 4,5 % sur 20 ans. Du coup, beaucoup, notamment les locataires, renoncent à acheter : "16  % d'entre eux se voient refuser un prêt, contre 10 % en juin dernier", constate Isabelle Vrilliard, directrice générale du site A Vendre-A Louer.

C'est aussi le cas des professions libérales et des commerçants, "des professions considérées comme risquées par les banques", confirme Olivier Alonso, fondateur du réseau Solvimo. Un malheur ne venant jamais seul, ces emprunteurs ne peuvent même plus compter sur l'aide des pouvoirs publics. Jusqu'à présent, ils pouvaient bénéficier du prêt à taux zéro. Ce PTZ avait permis l'an dernier à 300.000 ménages, soit plus de 40 % des acheteurs de logements anciens, de boucler leur dossier.

Hélas, les finances de l'État sont à sec, et le gouvernement a mis fin le 31 décembre dernier au PTZ dans l'ancien. Ce durcissement des conditions d'accès au crédit est un coup dur pour les jeunes couples. En 2011, le réseau Century 21, qui compte plus de 900 agences, a par exemple constaté un recul de 8 % du nombre d'acheteurs de moins de 40 ans. Et une progression de 27 % des achats des plus de 50 ans. Sur deux ans, compte tenu de la hausse des prix et du coup de vis sur le crédit, presque 25 % des acquéreurs potentiels ont ainsi disparu, soit entre 200.000 et 250.000 futurs propriétaires. Et c'est loin d'être terminé : en janvier, le volume des prêts a encore diminué de 25 % par rapport à janvier 2011. C'est le plus gros coup de frein depuis la mise en place de l'Observatoire crédit logement/CSA. Il est ressenti sur tous les marchés, même les plus actifs.

Délais de vente allongés :

A Paris, entre le premier et le second semestre de l'année dernière, les délais de vente avaient déjà commencé à augmenter, passant de quarante à cinquante jours. Ils se sont encore allongés d'un ou deux jours en janvier. Quant au volume des ventes, qui avait déjà baissé de 10 % fin 2011, selon les notaires d'Île-de-France, il a encore diminué de 7 à 8 % en ce début d'année. Les visites se multiplient, pas les transactions. Ce qui fait monter le stock de biens à vendre : "Depuis septembre, à Paris, ils ont augmenté de 20 %, constate Christophe du Pontavice, PDG du réseau d'agences Efficity. Du coup, la Fnaim, principale fédération d'agents immobiliers, a revu à la baisse ses prévisions de transactions pour 2012 : sans doute moins de 650.000, contre 860.000 en 2011.

Rabais négociés :

Dans le neuf comme dans l'ancien, il ne fait pas bon être vendeur ces temps-ci. Mais cela fait l'affaire des acheteurs, qui peuvent négocier des rabais. Plusieurs économistes, à Standard & Poor's et au Crédit agricole notamment, soulignent depuis quelques années déjà que les prix sont surévalués de 20 à 25 %. Une telle chute semble pourtant peu probable : la démographie française est dynamique, et les divorces sont nombreux. "L'Insee les a sous-estimés: il prévoyait une hausse de 15 % du nombre de ménages divorcés sur dix ans, mais elle a été de 45 %", souligne Frédéric Monssu, directeur général de Guy Hoquet. Le marché risque donc de baisser lentement: de 5 %, selon la Fnaim et les constructeurs, à 10 %, selon Meilleurs Agents, De particulier à particulier et Laforêt.

Commentaire CRI :

Nous ne comptons plus les clients intéressés pour acheter au Costa Rica qui nous disent « J’arrive dès que j’ai vendu ma maison, mon appartement … » et qui n’arrivent pas sauf à baisser d’un coup de 20 % leurs prétentions. Il ne serait pas étonnant que, hors bien d’exception, les prix baissent en France de 20 à 30 % dans les 3 prochaines années. Car nous sommes clairement dans une bulle immobilière qui commence à peine à se dégonfler. Et même à ce niveau de baisse, l’immobilier resterait encore bien trop cher pour la majorité des candidats acquéreurs. Rendez-vous en 2015 pour faire les comptes.
Nous sommes en avril 2015 et je repasse par là ... Bingo, malheureusement j'avais raison sans compter que l'euro s'est écroulé depuis lors face au dollar US ... Double bonus donc pour ceux qui ont vendu en France et pays similaires voici quelques années et investi le produit de leur(s) vente(s) au Costa Rica !



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